Le musée de la Briqueterie est ouvert presque toute l'année ( voir sur le site Internet de l'agglomération briochine). Depuis 2018, l'Association des Chemins de Fer des Côtes-du-Nord gère également la Gare de Plougonver. Sur ce site, la gare du Réseau Breton a été restaurée par un passionné qui y a fait un petit musée avec une dizaine de matériel d'origine suisse. Cette gare est ouverte au public exceptionnellement lors de fêtes. Animations 2020
Dimanche 19 juillet: Brocante – Vide-Grenier sur le site de Boutdeville
Samedi 19 septembre: Nuit des feux avec le musée de la Briqueterie (en parallèle des Journées Européennes du Patrimoine)
Dimanche 20 septembre: Journées Européennes du Patrimoine à Boutdeville et à Plougonver
En attendant de vous rencontrer, voici une vidéo réalisée par Aiguillages sur l'Association:
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Le projet fut alors provisoirement abandonné. 1984
Il y eut bien une autre tentative de l'union départementale des syndicats d'initiatives du département qui proposa « Côtes des granites » dans les années 78-80, mais le projet n'aboutit pas. Le projet de changement de nom connaît un ultime rebondissement en 1984, lorsque Alphonse Boulbain, président de l'Union des syndicats d'initiatives, revient à la charge avec « Côtes d'Armor ». 1988
Les communes sont à nouveau consultées et le Conseil général, présidé par Charles Josselin, redemande officiellement le changement de nom le 22 janvier 1988. « Nous avons commencé par consulter la Région et les autres Départements bretons, se souvient Charles Josselin, et nous n'avons rencontré aucune opposition, pas même du Finistère ». Quelques mois plus tard, convié par le président de la République François Mitterrand pour une visite d'État en Tunisie, Charles Josselin profite du voyage en avion pour lui en toucher un mot. « Le président m' a écouté sans prononcer un mot puis, lorsque j'en eus terminé, il me dit simplement: 'Côtes d'Armor, c'est un joli nom'.
» Il faudra attendre 1953 pour que Pierre Olivaux, hôtelier à Saint-Cast-le-Guildo et délégué hôtelier du Comité d'études et de de liaison des intérêts bretons (Celib), lance une enquête sur le changement de nom du Département. Les très nombreuses réponses révélèrent une immense majorité pour le changement de nom. Petit à petit, l'idée germe et en 1956, le Conseil municipal de Lannion vote un vœu en ce sens. 1959
Mais la première campagne d'envergure viendra de la Ville de Saint-Brieuc, le 10 juillet 1959, lorsque Fernand Durand, adjoint au maire, fait adopter à l'unanimité du Conseil municipal un vœu pour que les Côtes du Nord deviennent Côtes d'Armor, vœu repris dans la foulée par 307 communes du département sur 385, six seulement ayant voté contre, les autres ne s'étant pas prononcées. Et en novembre 1961, Saint-Brieuc va même jusqu'à imprimer « Côtes d'Armor » sur ses enveloppes de correspondance, provoquant l'ire du préfet et des PTT. Plus étonnante est la réaction négative de la société d'émulation pour laquelle « ar mor » signifiant « côte » en breton, on se retrouverait devant un pléonasme.
1960
Dans le même temps, le 10 janvier 1960, Victor Rault, conseiller général, soumet un vœu pour le changement de nom au vote de l'assemblée départementale, qui préfère, prudente, confier le dossier à une commission spécialisée. Le préfet, saisi des travaux de cette commission, confia le dossier aux Archives départementales. Pour autant, le débat reste ouvert au Conseil général et, le 20 avril 1962, sous la présidence de René Pléven, il demande officiellement au gouvernement de rebaptiser le département « Côtes d'Armor ». Mais il fallait pour ce faire l'accord de la Région et des trois autres Départements bretons, et le Finistère ne l'entendit pas de cette oreille, considérant qu'il dispose de deux fois plus de côtes (ar mor) que les Côtes du Nord. La demande essuie donc un refus du ministre de l'Intérieur de l'époque, Roger Frey, qui écrit à la députée Marie-Madeleine Dienesch que « attribuer le nom 'Côtes d'Armor' serait un pléonasme puisque 'ar mor' veut dire côtes en langue bretonne », lui suggérant toutefois que le Conseil général pouvait proposer un autre nom.
Les Côtes d'Armor, ce sont avant tout, des sites emblématiques, des atmosphères singulières, des ambiances inspirantes, à la fois énergiques et apaisantes. Par leur position centrale, les Côtes d'Armor sont la destination idéale pour découvrir toute la magie de la Bretagne. En partant des différents ports éparpillés sur la côte bretonne, partez à la découverte du Grand Site de France Cap d'Erquy - Cap Fréhel et de la Baie de Saint-Brieuc. Incontournable, la Côte de Granit Rose est le site à visiter en Bretagne tout comme l'île de Bréhat face à Paimpol dans les eaux de la Manche bordant la côte nord de la Bretagne. Pour découvrir la Bretagne et son histoire, un escale est obligatoire à Dinan pour voir une ville bretonne au temps du moyen-âge. Enfin la côte bretonne n'a pas le monopole de l'attractivité en Bretagne Nord. En effet, la Vallée des Saints et le lac de Guerlédan vous plongeront dans les mythes et légendes de Bretagne.
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Je savais que la partie était gagnée ». Adieu les « Nordistes » En 1989, soit un an avant le changement de nom, 40% seulement des Français situaient correctement les Côtes du Nord. Près de 53% les situaient entre les départements de la Manche et du Nord. En 1996, six ans après la naissance des Côtes d'Armor, ils étaient 67% à situer correctement notre département. Une anecdote qui en dit long: en 1985, le bateau Côtes du Nord gagne le Tour de France à la voile. Un journal parisien titre « Victoire des Nordistes », et un autre pronostiquait: « Ce soir, Dunkerque va pavoiser »... Sans commentaire. 1990
Dans la foulée, Charles Josselin prend son bâton de pèlerin pour aller convaincre, avec succès, Pierre Joxe, ministre de l'Intérieur, « qui me dit qu'il avait reçu des instructions du président Mitterrand », et Michel Rocard, Premier ministre, « avec qui ce fut une formalité ». En janvier 1990, le Conseil d'État dit oui, suivi du ministre de l'Intérieur et du Premier ministre. Le décret définitif du changement de nom est publié au Journal officiel le 8 mars 1990, presque 200 ans jour pour jour après la naissance des Départements.
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